Psychologue exerçant à Paris 14ème, j’accompagne les difficultés qui vous empêchent de vivre sereinement.
Je vous propose des séances de soutien psychologiques ponctuelles ou régulières en cabinet ou en visio, dans un cadre bienveillant.
Chaque séance est soumise à la confidentialité.
J’accueille et accompagne des adultes de tous âges dans leurs difficultés relationnelles, professionnelles, dans leurs troubles psychiques ou des personnes présentant un sentiment de malaise ou gênées face à des situations qui se répètent et qui induisent une souffrance, et donc une aide auprès d'un professionnel.
Ma pratique s'adresse aussi aux aidants familiaux de personnes malades (maladies dites du vieillissement, maladies psychiques physiques, handicap inné ou acquis) et propose un espace d’écoute, de soutien spécifique et de répit ainsi qu’une aide à la compréhension de la maladie et de ses possibles évolutions.
Psychologue diplômée de l'Université Paris Descartes (aujourd'hui Université de Paris), je suis formée à la psychologie clinique, la psychopathologie et la neuropsychologie.
J’ai exercé 10 ans en institutions et possède une expertise en gérontologie.
Je pratique la psychothérapie de soutien et les thérapies brèves. Je propose des suivis pour adultes ainsi que des entretiens familiaux en visio ou en cabinet.
Enrichie d’une formation en Hypnose Ericksonnienne (ARCHE) et d’une formation à la Méthode Phoenix Capacity (MPC®), je suis spécialisée dans l’accompagnement des troubles anxieux et dépressifs, des troubles psychosomatiques et de la gestion des émotions.
MOTIFS DE CONSULTATION
Les indications pour un accompagnement psychique sont larges (stress et anxiété, estime de soi, gestion des émotions, dépression…).
Différentes problématiques peuvent se poser au cours de notre vie et nous amener à rechercher de l'aide :
La première consultation de préciser votre demande dans le but de vous proposer l'accompagnement le plus adapté possible. A l'issue de cette séance, nous échangerons sur votre projet d'accompagnement.
Les séances de psychothérapie ne sont pas prises en charge par la Sécurité Sociale, cependant certaines mutuelles offrent des possibilités de remboursement. N'hésitez pas à vous renseigner auprès de votre mutuelle.
Je ne suis pas conventionnée et, comme la grande majorité de mes collègues, je n'adhère pas à "MonParcoursPsy".
En effet, ce dispositif a été construit sans concertation avec la profession et contrevient à plusieurs articles du Code de Déontologie des psychologues (notamment pour l'accès direct et le libre choix de son psychologue par le patient, et pour la confidentialité des échanges), et contribue à désengager l'Etat des services publics du soin psychiques.
Défendant d'autres modèles de prise en charge, j'adhère à l'APPA (Association des Psychologues et des Patients Accompagnés), une association d’intérêt général qui propose un intéressant dispositif vous permettant de défiscaliser vos séances.
L’adhésion à l’association est de 150€. Les campagnes d’adhésions se font par années scolaires (soit de septembre à septembre). Ainsi, votre adhésion pourra être déclarée sur vos impôts 2024.
Grâce à cette adhésion, vous pourrez :
Dès le paiement, vous recevrez les revenus fiscaux vous permettant de faire les déclarations annuelles aux impôts
Dans le cas d’une adhésion à l'APPA, le règlement de vos séances se fera sur le site de l’association (un lien vous sera alors communiqué) à laquelle vos factures seront adressées. Le montant de ces règlements me sera ensuite reversé.
Tout au long de votre parcours, vous aurez la possibilité de faire des dons déductibles de 66% de vos impôts dans la limite de 20% du revenu imposable. Ces dons, permettront de financer les activités de recherche du laboratoire de l’APPA et de financer des projets innovants.
La psychothérapie telle que je la pratique vous permet de trouver un espace d’écoute, de parole et d’échange dans un cadre thérapeutique et éthique confidentiel et bienveillant, dans le respect de vos valeurs et de vos besoins.
J'utilise l'hypnose comme outil pour vous permettre de lever certaines problématiques que le travail thérapeutique verbal ne permet pas.
Le titre de psychologue est délivré à l’issue d’une formation universitaire de 5 ans accompagnée de stages. Avec ce titre reconnu par l’état, le professionnel se voit délivrer un numéro ADELI, garantissant sa formation et reconnaissant son titre. Le psychologue est donc un professionnel de la santé mentale dont le travail est encadré par le code de déontologie des psychologues.
Les raisons qui peuvent amener à consulter un psychologue sont multiples et variées ; chacun peut ressentir le besoin ou l’envie de consulter un psy : difficultés professionnelles, relationnelles, familiales, anxiété, souffrances morales, malaises, schémas répétitifs, évènements de vie difficiles…
Consulter un psychologue, c’est faire le choix d’exprimer ses souffrances mais aussi ses envies et ses besoins. C’est aussi se laisser la possibilité d’un espace à soi en parlant à une personne extérieure.
Le travail psychothérapeutique peut prendre du temps car il se confronte aux résistances et aux défenses que chacun se construit au cours de sa vie. Pour permette à ces mécanismes de bouger et à la personne qui vient consulter d’avancer dans la compréhension de ses difficultés et de tenter de s’en défaire, le psychologue tente de saisir ces mécanismes, leur sens et leurs ancrages, le plus souvent inconscients.
L’accompagnement psychologique n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Certaines mutuelles proposent des remboursements de séances ou des forfaits annuels. N'hésitez pas à vous renseigner auprès de votre organisme.
L’hypnose est un état naturel que nous expérimentons chaque jour sans même nous en rendre compte. Ce n’est pas un état de sommeil. Au contraire ! C’est un état de travail actif ayant accès à vos ressources personnelles inconscientes contribuant à accepter, dépasser, libérer, surmonter, réorganiser, transformer… un problème ou une difficulté.
L’état hypnotique s’adapte à vos besoins, vos objectifs et votre rythme. Cette méthode vous rend acteur/actrice de votre changement.
Créée par Dominique Espaze, la Méthode Phoenix Capacity® (MPC) est une méthode d’accompagnement s’inscrivant parmi les thérapies brèves. Douce et respectueuse de votre rythme, cette méthode active les capacités naturelles du corps par le biais de l’imaginaire. Elle vise à faciliter et amplifier les processus de réparation et de régénération de l’être, d’améliorer les capacités de récupération et d’augmenter les performances personnelles.
La MPC® favorise une communication harmonieuse entre vos parties conscientes et inconscientes en potentialisant la relation « corps-esprit » par l’exploration et l’interrogation de vos métaphores afin de mobiliser vos ressources adéquates. C’est un voyage, une immersion dans vos représentations mentales où siègent aussi bien les obstacles que les solutions.
Le Lundi de 14h à 20h
Le Mardi de 9h à 14h
Le Mercredi de 9h à 19h
Le Jeudi de 9h30 à 19h30
Le Vendredi en visio de 9h à 14h
70€
Consultation psychologique
50€
Étudiant ou demandeur d'emploi
Je n'adhère pas au dispositif "Mon Parcours Psy".
Les séances ne sont pas remboursées par la sécurité sociale, mais peuvent être prises en charge selon les mutuelles.
Je n'accepte pas les CB.
Métro ligne 4 : Alésia
Métro ligne 6 : Saint Jacques
RER B ou T3a : Cité Universitaire
T3 a : Montsouris
Bus n°128, 62, 88 ou 92
N'hésitez pas à m'appeler pour plus de compléments d'informations ou pour prendre RDV, cliquez ici !
Parfait ? Imparfait ? Plus que parfait ?
« Personne n’est parfait ».
Cette phrase courte et simple qui clôt le film « Certains l’aiment chaud » sonne à la fois comme une fatalité et comme une sorte de mantra qui viendrait excuser notre inéluctable nature imparfaite. Comme si la perfection était la normalité ?!
A la définition de « parfait », le Larousse, propose : « qui est ce qu’il est de façon absolue, sans la moindre restriction » (synonymes : idéal, idyllique, incomparable, irréprochable, merveilleux, unique).
A l’opposé, « imparfait » est défini de la façon suivante : « qui présente des lacunes, qui n’est pas achevé, complet » (synonymes : approximatif, élémentaire, fragmentaire, incomplet, insuffisant, sommaire, vague).
Ainsi, quand une personne cherche à être parfaite, elle court après le merveilleux, à devenir un être idéal. C’est une chimère qui lui échappe inéluctablement du fait de sa condition humaine.
Qu’est ce que l’on peut définir comme parfait ? La perfection serait un assemblage de lieux, moments ou rencontres. Ce sont le résultat des actions du sujet ou un ensemble de facteurs réunis qui rendent une situation parfaite ; elle n’est associée à personne en particulier. La perfection réside donc dans l’instant, la beauté de l’éphémère. Elle créé des émotions, suspend le temps pour le rendre unique. C’est donc parce qu’elle est fragile et étroitement liée à l’imperfection que la perfection n’a rien à voir avec la réussite seule et simple.
L’idée de la perfection se construit avec les influences venues de notre environnement social ou familial mais aussi de notre vécu et de nos aspirations.
Le besoin de s’améliorer nait d’un autoritarisme qui peut être complété par un martèlement social d’entrer dans des normes ou d’en sortir, s’en démarquer. La loi de la perfection agit comme une injonction (« il faut ») qui s’étend en réseau : beau, intelligent, bon, généreux, organisé, aimable… Comme si l’accomplissement de soi passait par la perfection par tous les domaines de la vie ou de la personnalité. Que faire alors des évènements de vie ? Des émotions ? Des affects ?
Il serait réducteur de catégoriser le perfectionnisme comme positif ou négatif, bon ou mauvais. Comme pour beaucoup d’aspects de nos vies, c’est la mesure que l’on accorde à la perfection (et aux imperfections !) qui contribue à notre épanouissement.
Le perfectionnisme, s’il est utilisé comme étant la recherche du détail, agit comme un moteur et contribue à réaliser de grandes choses : exploits sportifs, œuvres d’art, excellence intellectuelle. Plus modestement (mais pas moins important !), le perfectionnisme contribue à la conduite de projets personnels et la recherche de l’accomplissement de ceux-ci et par là-même l’accomplissement de soi.
En revanche, un excès de perfectionnisme peut conduire à :
Les risques du perfectionnisme
S’il peut procurer une sensation de plaisir à la suite des efforts produits, le perfectionnisme peut, lorsqu’il est poussé à l’extrême, empêcher d’éprouver de la satisfaction. C’est ce perfectionnisme extrême qui se retrouve chez les personnalités obsessionnelles où le sentiment de contrôle agit comme une défense qui vient sécuriser sans venir rassurer puisqu’il s’agit d’atteindre des buts irréalistes où aucune erreur, aucune approximation, aucune inattention ne sont permises, mettant la personne dans une vigilance constante. Ce contrôle et cette hypervigilance ne permet pas d’accéder à ses affects ni d’identifier les émotions qui nous traversent.
Puisque le plaisir d’accomplir ne peut plus s’éprouver, l’obsession de la perfection peut conduire à la dépression ou à l’expression d’affects dépressifs. Le perfectionnisme est aussi un facteur de risque aux troubles obsessionnels compulsifs (TOC).
Que faire pour se libérer de cette quête de perfection ?
Tout d’abord, se recentrer sur soi, revenir à l’instant présent, à ce qui se vit dans l’instant et y apporter de l’intérêt est nécessaire. C’est une phase d’accueil de ses émotions, de ses besoins, de ses envies. Les pratiques méditatives sont alors particulièrement adaptées pour ce recentrage (méditation contemplative, méditation de pleine conscience, relaxation, yoga, tai-chi…).
Ensuite, se questionner sur ce qui amène à cette quête de perfection, à ses origines puis travailler sur ses forces et ses faiblesses, travailler sur l’image que l’on a de soi, s’accepter tel que l’on est, se détacher du regard des autres sont des thématiques fondamentales à aborder au travers d’un accompagnement thérapeutique pour apprendre à retrouver un équilibre et se concentrer sur ce qui est important pour soi.
Associé à ce travail, reconnaître la place de « l’échec », reconnaître que l’on s’est trompé pour mieux avancer, rebondir, continuer. Intégrer l’idée que le continuum de la vie est constitué de joies et de peines, d’erreurs et de réussites, de vie et de mort, d’un passé, d’un présent et d’un futur à construire.
Finalement, sortir d’un excès de perfectionnisme, c’est intégrer la notion de la mesure et du sens que l’on met à ce que l’on fait. C’est intégrer que l’on peut se satisfaire du moment présent et que la perfection se trouve déjà en nous, sans même que nous n’ayons à le rechercher. Il suffit pour cela d’apprendre à le reconnaître et à l’écouter. A se faire confiance…
Plutôt que de louer la perfection, ne devrions-nous pas plutôt apprendre à faire l’éloge de l’imperfection ?